Focus cancer du sein
Cancer du sein triple négatif : Trodelvy, ça change quoi ?
Touchant des femmes plutôt jeunes, à un stade avancé, il a longtemps laissé les médecins démunis. Jusqu’à l’arrivée, à la fin de 2021, de cette thérapie ciblée. Porteuse d’un formidable espoir, a-t-elle rempli toutes ses promesses ?
Cancer du sein : “Exclure les femmes de plus de 70 ans de l’indication des signatures génomiques est arbitraire”
Le Dr Eric-Charles Antoine, oncologue à la clinique Hartmann, revient pour nous sur le récent avis de la HAS d’exclure les femmes âgées de plus de 70 ans de l’indication des signatures génomiques. Un outil qui permettrait pourtant à certaines d’entre elles d’échapper à une chimiothérapie inutile.
Osons la vie – L’annonce du cancer. Stéphanie : « Là, l’épée de Damoclès que tu avais sur la tête tombe »
Chaque année en France, plus de 380 000 personnes reçoivent un diagnostic de cancer. L’annonce de la maladie est toujours un moment de bascule qui laisse une trace dans la mémoire de celles et ceux qui l’ont vécu. Dans cet épisode, découvrez l’histoire de Stéphanie. Stéphanie aimerait avoir un deuxième enfant. Parce qu’elle est atteinte d’une maladie génétique, elle doit recourir à une fécondation in vitro. Et parce qu’elle a la quarantaine, on lui demande de passer une mammo. Une première pour elle.
ESMO 2023. Cancer du sein : ce qu’il faut retenir
Un nouveau traitement prometteur pour les femmes touchées par un cancer du sein métastatique ayant déjà reçu plusieurs lignes de traitements. Le Dr Barbara Pistilli, , cheffe du comité de pathologie mammaire à Gustave Roussy, nous explique tout sur le Datopotamab deruxtecan.
ESMO 2023. L’exposition aux particules fines augmente le risque de cancer du sein
Selon une étude française présentée cette année à l’ESMO, les PM2,5 présentes dans l’air augmentent le risque de développer un cancer du sein, et ce même quand les seuils réglementaires sont respectés. Décryptage avec le Pr Béatrice Fervers, l’épidémiologiste qui a conduit l’étude.
ESMO 2023. De nouvelles avancées dans les cancers du sein hormonodépendants métastatiques
Cette année à l’ESMO, des résultats prometteurs dans les cancers du sein hormonodépendants métastatiques ont été présentés. Le Dr Barbara Pistilli, cheffe du comité de pathologie mammaire à Gustave Roussy, les commente pour nous.
Reconstruction mammaire : le vrai du faux
Tout se dit et s’entend à propos de la reconstruction : on peut choisir sa technique, on retrouve son sein d’avant, la reconstruction à plat est impossible en France, ça coûte cher… Que croire ? On fait le point.
« C’est quoi votre objet fétiche ? » – Pour Laurie, c’est un éventail
Au fil de ses traitements du cancer, cet objet un peu démodé est devenu indispensable à cette sage-femme de 37 ans. C’est son arme fatale contre les bouffées de chaleur, et elle ne s’en sépare jamais…
« Pourquoi m’a-t-on prescrit l’hormonothérapie pendant 5 ans plutôt que 10 ? »
Marie a été traitée pour un cancer du sein hormonodépendant. On lui a prescrit de l’hormonothérapie pour réduire son risque de récidive pendant 5 ans. Une amie à elle qui a également eu un cancer du sein se l'est vu prescrire pour 10 ans. Elle aimerait donc comprendre pourquoi on ne lui a pas prescrite plus longtemps et si elle continuera à être protégée quand elle l'arrêtera. Le Pr Mahasti Saghatchian, oncologue médical à l'hôpital américain de Paris, répond à sa question.
Cancer du sein hormonodépendant, HER2+, triple négatif : c’est quoi la différence ?
Il n'existe pas un mais des cancers du sein. Trois pour être précis. Qu'est-ce qui les distingue ? On fait le point.
Reconstruction mammaire : une plateforme d’aide à la décision
Le choix de la reconstruction mammaire après un cancer du sein est une décision délicate. Afin que les femmes puissent la prendre de manière éclairée, la HAS et l'INCa mettent en ligne une plateforme d'aide.
Mammographie 3D : “Il est trop tôt pour l’intégrer au dépistage organisé !”
La HAS vient de rendre un avis favorable à l'intégration de la tomosynthèse dans le dépistage organisé du cancer du sein. Une recommandation difficile à mettre en oeuvre en l’état selon le Pr Corinne Balleyguier, radiologue et chef du service d'Imagerie Diagnostique de Gustave Roussy.
Votre don nous aide à pérenniser nos actions d'information, d'accompagnement et de défense des droits des femmes touchées par tout type de cancer.
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Mais qui est vraiment Stéphane Vignes, spécialiste du lymphoedème ?
Chef du service de lymphologie de l’hôpital Cognacq-Jay, à Paris, centre de référence pour les lymphœdèmes primaires, il œuvre pour que ses patients gagnent en autonomie et en estime de soi.
24h dans une unité dédiée aux soins de support
De nombreux centres hospitaliers possèdent aujourd'hui un service entièrement consacré à la prévention et à la prise en charge de tous les effets secondaires liés aux thérapies anticancéreuses et à la maladie. On les appelle Disspo(1). À l'hôpital de Valencienne, les patients ont accès à un exceptionnel panel de soins. Immersion.
Les soins palliatifs, késako ?
Trop souvent associés à la fin de vie, les soins palliatifs sont destinés à toute personne touchée par une maladie devenue chronique. En quoi consistent-ils ? Quand peut-on en bénéficier ? Qui en fait la demande ? On vous explique tout.
Mon fils, le cancer et moi – « J’avais peur de plomber sa vie »
Que l’on soit une mère, un fils, une épouse ou un ami, le cancer bouleverse les relations avec nos proches. Pour Catherine, cette épreuve a confirmé que son fils Arthur était assez solide pour affronter des difficultés majeures.