Cancer hormonodépendant
Cancer et fertilité : « Je suis sous hormonothérapie, puis-je la suspendre pour avoir un enfant ? »
Marine a 36 ans et aimerait être mère mais elle est sous hormonothérapie suite à un cancer du sein. Peut-elle faire une pause dans son traitement pour tomber enceinte ? Le Pr Grynberg, spécialiste de la fertilité à l'hôpital Antoine-Béclère à Clamart et à Jean-Verdier à Bondy, répond à sa question.
Si l’hormonothérapie pouvait parler…
Synonyme de bouffées de chaleur, de douleurs, de baisse de libido, la simple évocation de ce traitement hérisse le poil de beaucoup de femmes en rémission d'un cancer du sein ou gynécologique. Il permet pourtant de lutter efficacement contre les récidives. Autoportrait sans filtre d’une gélule qui a encore du mal à passer…
Hormonothérapie : comment gérer les effets secondaires ?
Les effets secondaires de l’hormonothérapie sont redoutés par de nombreuses patientes. Quels sont-ils, et comment réagir pour ne pas les laisser s’installer ? Découvrez les éclairages du Dr Delphine Wehrer, gynécologue à Gustave Roussy.
Cancers hormonodépendants : quelle contraception choisir ?
Parce que leur cancer s'alimente des hormones sexuelles, la pilule est contre-indiquée pour les patientes touchées par un cancer hormonodépendant. Quelles options leur reste-t-il alors ? Une question sensible dont la réponse les engage pour toute la durée des traitements. Et bien au-delà.
« Une femme sur six arrête l’hormonothérapie après un an »
Une étude française en vie réelle se penche enfin sur les raisons de l'inobservance de l'hormonothérapie et sur les risques pour les malades. Le Dr Pistilli, oncologue à Gustave Roussy, qui a mené cette étude nous explique ce que ces résultats vont changer.
L’hormonothérapie, un traitement qui maltraite
Florence a 42 ans quand on lui diagnostique un cancer du sein hormonodépendant : elle peut donc bénéficier d'une hormothérapie pour limiter son risque de récidive. Une "chance" qui se transforme en calvaire du fait des effets indésirables. Mais la quadra compose avec en se découvrant un engouement pour le sport et en satisfaisant sa fibre artistique.
L’hormonothérapie « pire » que la chimiothérapie en terme de qualité de vie, selon l’étude Canto
Une étude menée auprès de femmes malades de cancers du sein révèle que l'hormonothérapie a, à long terme, des impacts plus délétères sur la qualité de vie que la chimiothérapie. Une réalité aujourd'hui (enfin) documentée. Qui permet de parler, pour la première fois, des conditions d'une "désescalade" de l'hormonothérapie.
Première mondiale : un bébé nait par MIV (maturation d’ovocytes in vitro)
Claudy souffre d'un cancer du sein hormonodépendant. Les traitements risquant de la rendre stérile, on lui propose un prélèvement d'ovocytes. Problème : impossible dans son cas de stimuler ses ovaires à cause des hormones qui risquent d'aggraver son cancer. Les médecins de l'hôpital Antoine-Béclère tentent une MIV, une première mondiale en oncologie. La réussite s'appelle Jules.
Les anti-aromatases : vraiment la panacée ?
Le bénéfice des anti-aromatases sur les récidives de cancer du sein, vanté par les études cliniques, compense-t-il vraiment les effets secondaires qui leurs sont associés ? Nous avons interrogé 2 spécialistes : le Docteur Mouly, gynécologue, et le Docteur Pistilli, cancérologue.
Mon hormonothérapie et moi. Lydie : « Le matin, j’ai 80 balais »
L’hormonothérapie a prouvé son efficacité pour réduire les risques de récidives de cancers du sein hormonodépendants. Si elle est bien tolérée par certaines femmes, elle est responsable d’effets secondaires handicapants pour d’autres. Témoignage.
Mon hormonothérapie et moi. Stéphanie : « J’ai cru que j’avais la maladie d’Alzheimer »
L’hormonothérapie a prouvé son efficacité pour réduire les risques de récidives de cancers du sein hormonodépendants. Si elle est bien tolérée par certaines femmes, elle est responsable d’effets secondaires handicapants pour d’autres. Témoignage.
Hormonothérapie : c’est vous qui en parlez le mieux
L’hormonothérapie a prouvé son efficacité pour réduire les risques de récidive de cancers du sein hormono-dépendants. Si elle est bien tolérée par certaines femmes, elle est responsable d’effets secondaires handicapants pour d’autres. Témoignages.
Votre don nous aide à pérenniser nos actions d'information, d'accompagnement et de défense des droits des femmes touchées par tout type de cancer.
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Mais qui est vraiment Stéphane Vignes, spécialiste du lymphoedème ?
Chef du service de lymphologie de l’hôpital Cognacq-Jay, à Paris, centre de référence pour les lymphœdèmes primaires, il œuvre pour que ses patients gagnent en autonomie et en estime de soi.
24h dans une unité dédiée aux soins de support
De nombreux centres hospitaliers possèdent aujourd'hui un service entièrement consacré à la prévention et à la prise en charge de tous les effets secondaires liés aux thérapies anticancéreuses et à la maladie. On les appelle Disspo(1). À l'hôpital de Valencienne, les patients ont accès à un exceptionnel panel de soins. Immersion.
Les soins palliatifs, késako ?
Trop souvent associés à la fin de vie, les soins palliatifs sont destinés à toute personne touchée par une maladie devenue chronique. En quoi consistent-ils ? Quand peut-on en bénéficier ? Qui en fait la demande ? On vous explique tout.
Mon fils, le cancer et moi – « J’avais peur de plomber sa vie »
Que l’on soit une mère, un fils, une épouse ou un ami, le cancer bouleverse les relations avec nos proches. Pour Catherine, cette épreuve a confirmé que son fils Arthur était assez solide pour affronter des difficultés majeures.