Face aux cancers, osons la vie !



{{ config.search.suggestions }} soin de support soin de socio-esthétique détente et bien-être perte de cheveux liée au cancer sport adapté au cancer ongles fragilisés par le cancer perte de sourcils liée au cancer maquillage des cils perte de cils liée au cancer angoisse et stress liés au cancer

Traitements anticancer et risques de stérilité

{{ config.mag.article.published }} 2 octobre 2012

{{ bookmarked ? config.sharing.bookmark.remove : config.sharing.bookmark.add }}

On entend souvent que les traitements contre un cancer rendent stérile. Ce n'est pas toujours vrai. Quels risques de stérilité selon le traitement ? Rose fait le point.

{{ config.mag.article.warning }}

Radiothérapie, onco-chirurgie et risques de stérilité

« Dans les cancers gynécologiques, explique le Dr Catherine Uzan, spécialiste en gynécologie-obstétrique et onco-chirurgie à l’institut Gustave Roussy (Villejuif). L’irradiation du bassin peut être cause de stérilité. Pour protéger l’ovaire, on l’éloigne des sources d’irradiation en le plaçant dans l’abdomen. En cas d’ablation de l’endomètre, des ovaires ou de l’utérus, nous pouvons parfois préserver une partie du tissu dans le cas de tumeurs localisées. »

Hormonothérapie et troubles de la fertilité

L’hormonothérapie, prescrite en cas de cancer du sein hormonodépendant pendant cinq ans, induit fréquemment l’arrêt des règles et reporte d’autant le projet de maternité. Dans certains cas, qui doivent être discutés avec l’oncologue, la durée de l’hormonothérapie peut être réduite à trois ans.

Chimiothérapie et stérilité, une fatalité ?

Toutes les chimiothérapies ne sont pas stérilisantes, mais certaines le sont plus que d’autres, comme les anthracyclines et les alkylants, qui peuvent entraîner une destruction des follicules, surtout lorsqu’elles sont associées. Certaines chimios sont administrées par principe de précaution.

C’est la raison pour laquelle toute décision de traitement général adjuvant, que ce soit par chimiothérapie ou hormonothérapie, doit être prise au cours d’une réunion de concertation pluridisciplinaire. Les différents médecins évaluent les risques de récidive métastatique et les éléments qui peuvent orienter vers tel ou tel traitement. Dans certains cas, la décision de ne pas prescrire de chimio est possible, et c’est la consultation directe entre l’oncologue médical et la patiente qui permet de décider : on parle alors de « décision médicale partagée ».


{{ config.mag.team }}

La rédaction de Rose magazine

Problèmes de fertilitéPortraits

Mais qui est vraiment Christine Decanter, spécialiste de la fertilité ?

Endocrinologue spécialisée dans les questions de fertilité, elle dirige, au CHU de Lille, le service d’assistance médicale à la procréation tout en menant des recherches au sein d’une entité unique en Europe : l’Observatoire de la fertilité après-cancer.

4 novembre 2024

06:24

ParentalitéTémoignages

Mamans Miracle – « J’avais le sentiment que le cancer me volait ma grossesse »

Virgilia Hess, journaliste à BFM TV, a été diagnostiquée d'un cancer du sein à près de six mois de grossesse. À l'occasion de la sortie de son livre "Ma grossesse m'a sauvé la vie", elle témoigne de son parcours et du sentiment de culpabilité qui l'a suivie, d'abord en tant que femme enceinte puis comme jeune maman.

Problèmes de fertilitéTémoignages

Mamans miracles – Sandrine, « S’il fallait le refaire, je ne changerais rien »

Devenue stérile suite à un lymphome de Hodgkin à l’âge de 23 ans, Sandrine a pu donner naissance à ses jumeaux, Léa et Hugo, grâce à une bonne dose de persévérance et une prouesse médicale : la greffe de tissu ovarien.

17:00

Symptômes et diagnostic {{ config.podcast.label }}

Osons la vie – L’annonce du cancer. Stéphanie : « Là, l’épée de Damoclès que tu avais sur la tête tombe »

Chaque année en France, plus de 380 000 personnes reçoivent un diagnostic de cancer. L’annonce de la maladie est toujours un moment de bascule qui laisse une trace dans la mémoire de celles et ceux qui l’ont vécu. Dans cet épisode, découvrez l’histoire de Stéphanie. Stéphanie aimerait avoir un deuxième enfant. Parce qu’elle est atteinte d’une maladie génétique, elle doit recourir à une fécondation in vitro. Et parce qu’elle a la quarantaine, on lui demande de passer une mammo. Une première pour elle.