Face aux cancers, osons la vie !

Quand les résultats de l'auto-complétion sont disponibles, utilisez les flèches haut et bas pour évaluer entrer pour aller à la page désirée. Utilisateurs et utilisatrices d‘appareils tactiles, explorez en touchant ou par des gestes de balayage.

{{ config.search.suggestions }} soin de support soin de socio-esthétique sport adapté au cancer perte de cheveux liée au cancer Rdv de socio-esthétique détente et bien-être ongles fragilisés par le cancer perte de sourcils liée au cancer perte de cils liée au cancer maquillage des cils

Mais qui est vraiment Laurent Lantiéri, spécialiste de la reconstruction par Diep ?

{{ config.mag.article.published }} 13 juillet 2017

{{ bookmarked ? config.sharing.bookmark.remove : config.sharing.bookmark.add }}
Photo : Stephan Gladieu / Figarophoto

Portrait du Pr Lantiéri, le saint des seins.

{{ config.mag.article.warning }}

Sa maison

L’hôpital européen Georges-Pompidou. Depuis 2012, le Pr Laurent Lantiéri y super­vise un nouveau pôle de chirurgie plastique aux moyens accrus, notamment en matière de reconstruction mammaire.

Sa mission 

Développer la reconstruction mammaire par Diep (autotransplantation, au niveau du sein mastectomisé, de peau et de graisse du ventre), et plus spécialement la reconstruction immédiate, dans la foulée de l’ablation. Aujourd’hui, environ 15 000 femmes subissent une mastectomie chaque année. Seulement 30 % d’entre elles se font reconstruire. « Je veux doubler ce pourcentage d’ici quatre ans et en réaliser la moitié en immédiat. » Par Diep, donc. « Les tissus prélevés sur les malades sont vivants, de bonne qualité et ils tolèrent bien la radiothérapie, ce qui n’est pas le cas des prothèses. »

Sa passion

La chirurgie compliquée. On se souvient de ses greffes totales de la face, dont la première mondiale, en 2010, lui avait valu le titre de personnalité de l’année. Le Diep aussi est une intervention délicate.

Son évasion 

Le piano, dont il suit un cours particulier tous les mardis soirs. Quand il était petit, un prof avait dit à sa mère : « Vu la conformation de ses doigts, il ne sera sûrement pas manuel. » Raté.

 


{{ config.mag.team }}

Béatrice Lorant

Ancienne rédactrice en chef de Rose magazine

Facteurs de risque et prévention {{ config.podcast.label }}

Osons la vie – Céline accepte d’hériter d’un cancer

En 2022, Céline est diagnostiquée d’un cancer du sein. Il y a déjà eu des cas de cancers dans sa famille. On lui propose donc de faire un test génétique. Les résultats révèlent qu’elle est porteuse d’une mutation héréditaire qui la prédispose à certains cancers. Une annonce qui a des répercussions, non seulement sur elle, mais aussi sur toute sa famille.

Reconstruction mammaireTémoignages

« J’ai choisi la reconstruction à plat » – Pour Aurore, c’est une libération

Le cancer conduit parfois à l’ablation d’un ou des deux seins. Et après ? Après la mastectomie totale de son sein gauche, en 2017, Aurore a souhaité qu’on lui retire aussi son sein sain afin d’avoir un buste parfaitement plat. Elle préfère dire “aérodynamique“...

Cancers métastatiques {{ config.podcast.label }}

Osons la vie – Rosy accepte de vivre avec un cancer dont elle ne guérira pas

Rosy est atteinte d’un cancer métastatique. Une maladie dont elle ne guérira jamais. Pourtant, elle décide de ne rien lâcher : ni son travail, ni ses voyages, et encore moins sa moto ! Entre périodes de récidive et de rémission, elle apprend à "vivre avec" et à penser à l'avenir, malgré tout.

Reconstruction mammaireTémoignages

« J’ai choisi la reconstruction à plat » – Pour Nathalie, c’est reprendre confiance en soi

Le cancer conduit parfois à l’ablation d’un ou des deux seins. Et après ? Après la mastectomie totale de son sein droit, en 2023, Nathalie n’a souhaité qu’une chose : qu’on lui fasse une cicatrice « discrète et plate ». Depuis cette opération, finis les complexes !