Une enquête menée par l’Agence Phare, cabinet indépendant, a identifié 5 impacts majeurs sur leur vie quotidienne. Un bilan qui nous encourage à œuvrer pour en faire bénéficier le plus grand nombre.
BIEN-ÊTRE
Des femmes à l’aise… au point de lâcher prise
90% des bénéficiaires se sentent à l’aise au sein de la Maison Rose, au point d’oser “craquer”. La non-mixité du lieu est propice au partage. Les femmes y abordent des sujets sensibles, plus facilement qu’elles ne le feraient dans d’autres sphères.
VIE SOCIALE
Des relations améliorées avec les proches
81% des bénéficiaires de la Maison Rose ont le sentiment d’appartenir à une communauté. Ce lien tissé entre malades se répercute à l’extérieur de ce cercle puisqu’un tiers des femmes interrogées déclarent que leurs relations avec leurs proches se sont améliorées.
AUTONOMIE
Le sentiment d’être actrice de sa maladie
Pour 40% des femmes interrogées, la Maison Rose permet d’être davantage actrice dans son parcours de soin. En retrouvant leur autonomie, les malades communiquent par ailleurs plus facilement avec le personnel soignant.
ESTIME DE SOI
Une meilleure acceptation de son image
41% des bénéficiaires déclarent être mieux à même de faire face aux effets secondaires de la maladie. Grâce aux ateliers et à l’accompagnement personnalisé, les femmes se réapproprient leur corps et acceptent que celui-ci ne sera plus “comme avant”.
EMPLOI
De l’énergie pour se projeter
Les ateliers de retour à l’emploi procurent l’énergie nécessaire pour se lancer dans de nouveaux projets. C’est ce que rapportent 69% des bénéficiaires. En levant les freins à l’accès à l’emploi, ils contribuent également à faciliter la poursuite ou la reprise de l’activité professionnelle pour 81% des femmes.
Pour consulter les résultats de l’étude en version feuilletable
Vous pouvez également télécharger l’étude au format PDF